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Il y a cent ans, les PNCA menaient une vie de chasse et de pêche de subsistance. Caribous, orignaux, mouflons de Dall, chèvres sauvages, spermophiles arctiques et autres petits mammifères étaient chassés et pris au piége pour leur chair et leur fourrure. Les montaisons annuelles des saumons sockeye, coho et quinnat étaient synonyme d'abondance et de célébration. Les gens se rendaient à pied d'aussi loin que Aishihik, à 200 km au nord, dans les établissements sur la Tatshenshini et ses affluents. Les espèces de poissons vivant dans les lacs et rivières constituaient aussi une importante source de nourriture et on les pêchait toute l'année. À cela s'ajoutaient les baies, cueillies par les femmes et conservées dans de la graisse, pour diversifier l'alimentation.
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Vue sur le chemin de Haines et le lac Kelsall, un excellent territoire de chasse.
S. Gaunt, CAFN.
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